Tableau des années de fabrication des armes Italiennes et Espagnoles voir Américaines......

Comme annoncé, voilà les tableaux glanés sur le net :

Attention, le tableau italien a été modifié : depuis 2020, ce n'est plus les 2 lettres dans le carré mais bien, le millésime en chiffres :
2020 = 20
2021 = 21

Un lien avec un tableau : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Ce système a moins de charme mais, a le mérite d'être plus clair.

Par contre, il semble que Uberti ait ajouté des marquages des plus moches. Dommage pour des armes historiques :

AAARGGGHHHHHH....
En effet, quel laid marquage sur le barillet dis donc !!!!!

Le '21 'nous prouve par contre que c'est la liste avec les chiffres de la décennie qui est prise en compte à partir de 2020...


Merci pour ces informations précieuses, chers amis ...

Pour ce qui du millésime 20-21-22 etc., j'en étais certain puisque ma 1866 de 2020 l'a déjà.
Pour rappel, c'est celle avec un horrible marquage en blanc de l'importateur US sur le canon, que j'ai passé au marqueur indélébile noir de la marque favorite de Steve.
Faut croire que Uberti s'est lancé dans des marquages affreux, celui sur le barillet du copain étant le pompon.
J'envisage un achat d'un nouveau revolver Uberti mais, quand je vois ça, je suis un peu refroidi.

Ce marquage jusqu'en 2030 était une anticipation logique mais comme tout système, il n'était pas exempt d'évolution.
Le fait de marquer le l'année avec la dizaine et l'unité est parfait, comme ça il n'y aura plus à se prendre la tête.

Jadis, dans le début des années 90, c'était encore un peu de l'hébreu pour interpréter le système des doubles lettres mis en place des . Il n'y avait pas le net et souvent on pratiqué par déduction ou comparaison (sans savoir quelles lettres avaient été vraiment retenues des 1975 (16 pour commencer avec la série des A et ensuite 15 pour des raisons de calendrier)

Par contre marquer le n° de l'arme sur le barillet, c'est pas terrible. C'est à se demander s'ils réfléchissent......

Dis donc, cher Lone rider...
Ce laid marquage sur le barillet m'a l'air d'être fait au laser ?!
Est-il 'profond' ou s'agit-il d'un marquage superficiel ...

De plus, je me pose la question : POURQUOI un numéro de série sur les barillets ?
Les considèrerait-on comme 'chargeurs', qui en Belgique sont depuis peu soumis à déclaration ????

Bizarre !

Normalement on trouve les numéros de série sur la barillet sur les originaux ou les secondes voire troisième génération ou signatures. Parfois mais rarement sur certaines répliques anciennes.
Dans ce cas, le plus souvent elles étaient aussi autour du barillet à l'intérieur sous les cheminées de percussion (3 derniers chiffres) mais les graver comme sur la photo, il auraient mieux fait d'éviter.....

Comme je n'ai pas eu le revolver en mains (c'est en France), faut que je demande la nature du marquage.
Mais, il y a des chances que ce soit quand même quelque-chose de permanent et non un "tatouage éphémère".
L'enlever reviendrait à poncer la surface au minimum.
Si cela devait devenir une habitude chez Uberti, espérons que le marché américain réagisse pour que ça change, le marché européen n'ayant aucun poids dans ce domaine.

Salut Lone Rider,

C'est consternant, il valait mieux laisser comme avant (parfois rien) que de faire ce type de "daube".
Sur l'intérieur, ok, sauf pour les fan du défarbage même si ça ne se voit pas... Là, c'est une faute de goût caractérisée et même les airguns qui nous sont cher sont plus épargnés ou tout du moins ça reste acceptable à défaut de les retirer sans risques....

Comme tu dis, espérons que les ricains crient au scandale.....

J'ai eu la réponse du copain français : une gravure Laser profonde !
Donc, impossible à faire disparaitre.
Le copain est un peu dépité et va garder le revolver comme ça, faute de pouvoir faire quelque-chose.
Je pense qu'il faudrait envoyer des lettres ou des e-mails de protestation à Uberti avec la photo en exemple.
S'ils reçoivent des récriminations de partout, ils reverront peut-être leur copie.
Mais, si personne ne fait rien, ça va rester.

C'est incroyable...
Une gravure au LASER et profonde et super apparente sur une arme sensée être vieille de 150 ans...
Quel carnage !

Il y a néanmoins peut être une solution à ce problème.
Il 'suffirait' d'acheter en après vente un barillet supplémentaire, qui à ce que je sache, ne sont à ce jour pas numérotés?!

Peut-être mais, reconnaissons que ce n'est pas très pratique de devoir acheter un second barillet pour avoir une arme sans un horrible marquage.
Mais, qu'est-ce qu'il leur prend chez Uberti ?

Oui tu as raison... cher Lone Rider.
Qu'est ce qui a bien pu se passer dans leur tête chez Uberi... ???
Cela risque de faire des émules pour Pietta.

En tout cas, je ne voudrais pas d'un revolver dont le barillet est marqué de cette façon.
De plus en sachant que le marquage est profond et donc pratiquement impossible à dissimuler.

Quelle déception.... !!!

Shame on you, Uberti !!!!!

Je viens de leur écrire et en italien, SVP !
Avec la photo du revolver du copain !
On verra bien leur réponse...

Hahahahahahaha...

Je serai bien curieux de connaitre leur réponse !!!!

Bonjour,
Je rebondis sur le sujet pour vous demander si vous connaissez l'existence d'un document permettant de dater la production des R&S par Feinwerkbau.
Je possède un exemplaire frappé sur le coté gauche de la carcasse du n° 1303 que j'interprète comme étant le numéro de série, mais je ne trouve aucun poinçon similaire à ceux figurant sur les répliques italiennes pouvant indiquer l'année de production.

Spoiler:

Chaque pays a son système, voir chaque fabricant, puisque tous les pays n'imposent pas les mêmes normes à ceux-ci.

La seule chose qui soit réellement imposée dans (presque ?) chaque pays, et qui est bien utile de toute façons aux fabricants pour savoir où ils en sont, est le numéro de série de l'arme.

Celui-ci peut d'ailleurs se composer d'éléments différents d'un fabricant à l'autre, certains comportent une ou plusieurs lettres, d'autres uniquement des chiffres...

Il y a même des pays où il n'y a pas de "banc d'épreuve" national, chaque fabricant étant responsable de sa production, comme l'un des plus grands qui soit, les USA, par exemple.

Bonjour Jeppesen,

Merci pour ta réponse.

Concernant les répliques produites en Allemagne, quelle serait la norme ?

En Allemagne il y a un Banc d'Epreuve dans à peu près toutes les grandes villes...
Les armes y sont fortement controlées au niveau qualité mais la vente relativement libre !











Au niveau des armes de type 'Alarme'  (''à blanc') elles doivent toutes, et ce depuis 1969, être poinçonnées du fameux poinçon PTB que vous avez sûrement déjà vu.

Ci-dessous vous pouvez admirer un de mes anciens SAA (à blanc) de la marque Uberti / HEGE ...
Le poinçon 'PTB' est bien visible et signifie que l'arme est passée par l'organisme de controle Allemand et est considérée sûre, fiable et non convertible.

J'ai eu une réponse de Uberti relative à ce marquage disgracieux sur le barillet :

Je suis désolé de vous dire qu'en raison de la loi européenne sur les armes à feu, nous devons marquer chaque pièce essentielle de l'arme avec la série, le nom de la société et le pays de production.
Je suis d'accord avec vous, c'est affreux.
Nous essayons de trouver un nouvel endroit pour le faire. L'avenir sera différent, c'est certain.

Ceci étant, c'est vrai que j'ai été étonné de voir que la culasse coulissante de ma Winchester 1866 Uberti de 2020, était marquée du numéro.
Je suppose que d'autres pièces du mécanisme doivent l'être aussi.
Savent pas quoi inventer !

Merci du feeback, cher Lone Rider.        

La réponse ne s'est finalement pas trop fait attendre...
Et elle reflète bien ce dont je me doutais.

L'Europe est en train de standardiser la législation pour les armes et en a déjà prévenu les fabriquants.
Bientôt il faudra des autorisations pour TOUT, pièces de remplacement comprises.
La traçabilités devra être possible en tout temps et il faudra donc des numéros de série sur quasi toutes les pièces.
(Les barillets en particulier, associés à des chargeurs...)

Merci pour le transmis de la réponse.
Le marquage y compris sur toute les pièces du mécanisme, pourquoi pas. Les modèles 73 (Chamalot-Delvigne) et autres étaient bien ainsi et ça permet de voir au premier coup d'œil si elles sont toutes d'origines (ou réparées d'époque).
Dans les reventes, on sera sur que toutes les pièces sont d'origines (surtout les barillets) et qu'il n'y a pas eu de bidouillage.
Reste à trouver une façon plus esthétique de le faire et refaire comme sur les modèles d'époque me paraît plus que concevable sans gâcher l'esthétique.

Peut être que cette nouvelle façon de faire est tout simplement moins onéreuse que la frappe au poinçon (manuelle) ? Ce serait une explication possible de cette mauvaise initiative.....
Plutôt bien tenté si personne ne dit rien....

La réponse n'est pas nuancée : "Je suis d'accord avec vous, c'est affreux !".
Le gars de chez Uberti aurait pu se retrancher simplement derrière l'obligation européenne, sans se mouiller.
A noter que sa réponse était en Copie à une autre personne de chez Uberti, ce qui prouve que l'info sur ce "désastre" circule chez eux.
C'est une bonne chose pour une remise en question et la recherche d'une solution...... surtout s'il y a d'autres plaintes !
Quant aux marquages de barillet, il y a sans doute moyen de le faire sur l'avant, là où ils seront moins visibles.
A noter que sur la culasse de ma 1866, c'est aussi en blanc (laser ?) mais, avec une toute police de caractères puisque la pièce est étroite.
Donc, c'est faisable en tout petit.

Le marquage 'à la Chamelot Delvigne' où toutes les pièces sont frapées d'un numéro ne me dérangent absolument pas, tout du contraire...
Il s'agit d'ailleurs des 3 derniers chiffres du numéro de série, bien souvent frappés à des endroits discrets, voire non visibles au premier abord.
Comme le dis Trappeurjohn, cela peut avoir beaucoup d'avantages au niveau du contrôle de l'authenticité de chaque pièce d'un revolver de collection.
Bidouillages effectivement pratiquement impossibles... donc, bonne chose.

Le marquage via laser et de surcroit bien en profondeur à des endroits bien visibles comme au milieu d'un barillet est cependant TRES dérangeant (en ce qui me concerne).
Je suis très étonné que l'excellente firme italienne UBERTI, qui jusqu'à présent avait caché ses marquages 'légaux' sous le levier d'armement, ait décidé de ce procédé au laser pathétique !!!
Espérons, comme tu le dis cher Lone Rider, qu'ils se reprennent très vite et trouvent une solution acceptable ...